C'est l'enfer ! Un spectacle excessif Dante, Hugo, Araydi, Barberi, Shakespeare, Artaud, Lorca, Vargas Llosa et anonymes

Coproduction : Inouï Production / les planches du salut

Guigou Chenevier       : traduction live, toupies, petites percussions, clarinette, cloches, sirènes,                                             métallophone, korg, batterie, casio, jouets, ukulélé

Stefano Fogher           : contrebasse, voix, stratocaster, violoncelle, clavier, boucles, bassello, cor,                                           tamburiça

Emmanuel Gilot          : création sonore

Compositions musicales        : Guigou Chenevier et Stefano Fogher

Conception, choix des textes et lumières               : Stefano Fogher

 Depuis qu'il est en France, Stefano a toujours regretté, malgré ses efforts "intégratifs" de ne pouvoir exprimer pleinement son énergie dans toutes ses couleurs, il y avait même renoncé, puis, un jour, il a vu Guigou sur scène…………………………………………………………………………..!

 Dans la construction de ce spectacle, toute chose prenait une étrange résonance : répétitions d'enfer, textes d'enfer, musique d'enfer, personnages d'enfer, etc. (d'enfer).

Cela signifie qu'il n'y a pas un enfer mais des enfers.

L'enfer de Dante, la référence par excellence

L'enfer en physique, génial devoir écrit par un étudiant anonyme

L'enfer lyrique d'Hugo

L'enfer comme un glissement au quotidien imperceptible selon Barberi

L'enfer terrible des camps dans un magnifique petit poème d'Araydi

L'enfer des instruments battus, tripotés, caressés par deux musiciens un peu fous

L'enfer du décor du Macbeth de Shakespeare

L'enfer élégiaque d'Artaud

L'enfer comme racine du cri selon Lorca

L'enfer : souffrance pathologique de Vincent Van Gogh écrit par un internaute inconnu

L'enfer pleinement assumé et accepté d'une tête de Bacon par Vargas Llosa

 Évidemment le thème est l'Enfer,

mais un enfer ludique ou les diables s'amusent certainement plus que les pauvres anges au paradis !

 

"…il est possible que Dieu existe, mais cela, à ce point de l'histoire, avec tout ce qui nous est arrivé, a-t-il encore quelque importance?"